Tous les médias se donnent la main en ce moment pour dénoncer l’obsolescence programmée par les constructeurs de nos appareils et machines.
J’ai moi aussi, bien sur ma petite idée sur ce phénomène.
Il faudrait atténuer l’externalisation de l’esclavage tel que nous le pratiquons pour retrouver l’intérêt de cette forme de recyclage qu’est la réparation.
Rem: Il faut que j’écrive ce mot très vite à cause de l’obsolescence fulgurante de l’info.
Point de vue des consommateurs: Vivre l’instant, la griserie de l’appropriation. Céder à l’ivresse d’une mode, d’une tendance de groupe. On n’est pas dans l’investissement de long terme.
Point de vue de l’utilisateur: Quand l’usage prend le pas sur l’impulsion; exemple d’un outils professionnel, la qualité se paie, mais oui, elle existe bel et bien.
fausse citation:
Il y eu un temps où on attendait de pouvoir acheter un cheval pour acheter un cheval. La tentation d’acheter l’illusion d’un cheval serait plus récente.
Point de vue de la marque: Vendre de la qualité a un coût important. Ceci n’est rentable que sur le long terme par exemple, Bose, Mercedes, Toyota. Provoquer le renouvellement des achat après un dysfonctionnement prématuré est un fantasme de ministre, pas d’un industriel – le consommateur a la mémoire courte mais il est versatile -.
Un industriel rêvera plus facilement de faire se succéder ses modèles en créant le besoin chez les utilisateurs de nouvelles fonctionnalité réelles ou supposées. Le ministre pourra parfois l’y aider via l »évolution des normes.