Voilà ou se niche le dépaysement. Dans le passage de frontières.
La fouille des bagages, le remplissage de formulaires, l’inspection du bus jusque dans les toilettes. Interdiction de passer même du maté argentin au Chili, celui avec la paille…
Mais au bout du tunnel de béton, il y a les Andes
Carlos écrit des articles dans le supplément tourisme du quotidien de Cordoba. On l’invite dans des palaces sur copa cabana, on lui paie des voyages dans des supers coins, il pose ses questions et fait ses remarques aux plus hauts responsables.
C’est lui qui m’a dit de faire un tour en bus à touristes pour se faire une idée de la ville où on arrive.
C’est fait. A Mendoza. Ca rajoute jiste un peu de circulation à la circulation.
Finalement, le succès c’est assez simple. De l’humour, un sourire avenant, un brin de culture, et le tour est joué.
Je vous embrasse les filles. A bientôt.
Pourtant la coupe, dont la taille ne compte pas, était pleine. La fête argentine se passe au Fernet Branca, avec grill geant, piscine même pour la mariée en robe, et musique latine. On a eu aussi du champ et des gateaux, de la pizza jusqu’au bout de la nuit…. même pas mal.
Bravo LuliRafa
Des images plus intenses, bientôt et sur inscription
J’ai trouvé un film argentin qui illustre bien la noce de LuliRafa 🙂
Je ne suis pas certain que ce film sur un mariage différent fasse beaucoup d’entrées en France…
Il y a plein de ces personnages statufiés à travers la ville. Personnages réels ou fictifs comme les inventions de Quino. Mafalda a été la première sur son banc de la calle Chile.
Voilà une idée pour illustrer Marseille de pagnolades et autre boulisteries !
Marcello a mal pris de se faire traiter de casse couille par un client. Foutage du formulaire à la gueule, insultes, menaces, le client se rebelle, se lance et se prend une branlée magistrale.
Lieu du sketch : le comptoir de Ryanair mp2 ce 24 novembre 2014
Résultat du match: le client est interdit de vol.
L’Argentine est un peu comme la France qui serait sortie de l’euro.
L’inflation y galope, le marché du « dollar bleu » aussi. Les argentins cherchent à sécuriser leur argent qui a des accoups de 15%, alors ils achètent dollars et euros à des prix prohibitifs. L’état les y aide puisque les touristes ne peuvent pas retirer suffisamment de pesos dans les distributeurs banquaire. C’est la course aux bricolages, entrées de devise d’Urugay, du Brésil. Il y a des astuces airbnb, paypall et autres sites bancaire internationaux. L’économie est une mystique dogmatique, et surtout pas une science !
Il fait chaud dans les sous terrains du métro de BS-AS (aka BUE alias Buenos Aires)
Aux heures pointe c’est pire, et c’est très souvent la pointe, l’heure ou la rame bondée, refuse et laisse sur le quai autant de monde qu’elle n’emporte. Les bus, les voitures, les trotoirs, tout ce qui sert à vehiculer le porteño est saturé , chaud et enfumé. Je vais aller visiter les parcs aujourd’hui moi.
La plaza de mayo n’est jamais en paix. La culture, la mémoire et la crise éternelle en sont la cause